2 août 2008
Brûle Brûle Brûle
Un jour tu partiras
Vers de lointain horizon
Dont l’implacable temps aura eu raison
Ce jour là viendra
Et je ne pourrai malheureusement pas
Te retenir car je t’aime trop pour ne pas te laisser partir
Ton souvenir me hante
toutes les nuits et les jours
J’entends tes pas quand je rentre, ta voix qui me rend sourd
Et l’eternel soleil brillera a jamais
Sur les vieilles villes endormie
Que la brulure de l’aurore
Aura meurtrie d’une froideur indolore
Berceuse sans fin
J’entrevois le bonheur enfin
Cette fois je le sais l’espoir est portée pas ses mains
N’oublie pas
Si tu pars
De pensé à ne pas
Revenir trop tard
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L