Un jour tu partiras
Vers de lointain horizon
Dont l’implacable temps aura eu raison

Ce jour là viendra
Et je ne pourrai malheureusement pas
Te retenir car je t’aime trop pour ne pas te laisser partir

Ton souvenir me hante
toutes les nuits et les jours
J’entends tes pas quand je rentre, ta voix qui me rend sourd

Et l’eternel soleil brillera a jamais
Sur les vieilles villes endormie
Que la brulure de l’aurore
Aura meurtrie d’une froideur indolore

Berceuse sans fin
J’entrevois le bonheur enfin
Cette fois je le sais l’espoir est portée pas ses mains

N’oublie pas
Si tu pars
De pensé à ne pas
Revenir trop tard

Comme tout commence habituellement comme ceci, il faut une personne cette personne c'est moi. Commençons donc..

Pour jouer a ce jeu il faut être deux j'ai trouvé mon adversaire ou plutôt ma coéquipière mais le problème c'est quel ne le sais pas encore...

Elle ne le sera peut être aussi jamais et je jouer sans fin a ce jeu.

Mais quel est ce jeu ? Vous êtes des millions a y joué. Quand on y joue on se dit que personne peut ressentir ou comprendre ce que l'on ressent que l'on est seul au monde et que tout le monde vous veut du mal. Mais l'égocentrisme poussé à son paroxysme n'est qu'un obstacle du jeu. un reflex a la con.

Ce jeu fini lorsque les deux personne ont pris connaissance des règles et les acceptes ou pas. Certain d'entre nous seront a tous jamais plongé dans ce jeu sans fin dans cette romance sans paroles. D'autre n'oserons jamais et préféreront jouer dans leur rêve toute leur vie.

Il est facile de voir qu'elle essaie de parler

Des rêves chéris pour toujours endormi